jeudi 16 avril 2015

Le Sultan Bayezid 2 et sa rencontre avec Al-Khidr

Si vous voulez un jour avoir des chances de rencontrer Al-Khidr dit « le verdoyant » qui a accédé à l’immortalité, il est une façon de faire qui est assez simple et accessible pour tous. Il vous suffira d’aller prier dans la mosquée de Bayezid qui tire son nom du Sultan Bayezid 2, fils du Sultan Mehmet 2 dit « le conquérant ». Le fait que Al-Khidr vienne faire sa prière une fois par semaine dans cette mosquée vient de sa rencontre avec Bayezid Khan. Voici le récit qui raconte cet événement.

Le Sultan Bayezid 2 venait souvent prendre part aux travaux de construction de la mosquée Bayezid qui porte son nom. Ainsi, tout comme le prophète (saw) qui participait physiquement à la construction de la mosquée Al-Nabawi de Médine, il ne profitait pas de son grade de Sultan pour se reposer mais aimait aider les ouvriers. Un jour lors des travaux, il remarqua qu’un des ouvriers travaillait étonnamment vite et que son mur s’élevait à vue d’oeil. En l’observant d’avantage, il comprit que cet homme était Al-Khidr en personne.


lundi 13 avril 2015

Atatürk était un pervers sexuel qui avait transformé le palais présidentiel de Cankaya en bordel

Imaginez un pays musulman (à majorité). Dites vous que ce pays était autrefois un grand empire dont l’entité a été aussi le Califat (détruit par un dictateur). Imaginez dans ce pays qu’il y ait aujourd’hui plus de statues de ce dictateur (qui était un juif sabbatéen) que de bouddhas dans le monde. Imaginez qu’une partie des citoyens de ce pays vouent un culte presque divin à ces statues. Dites vous maintenant que ce dictateur était un pervers sexuel accro aux femmes et qui avait transformé le palais présidentiel en bordel où allaient et venaient moult prostituées qui servaient à assouvir ses plaisirs sexuels. Et ça vous donne la Turquie actuelle !

Cette situation complètement invraisemblable est bien réelle. Le dictateur dont il est question est Atatürk en personne. Ce sinistre personnage a réussi à se faire aduler pendant 80 années par une bonne partie de la population turque qui auparavant n’adulait pas mais respectait énormément des sultans ottomans qui avaient fait de leurs vies une mission de servir l’islam. On pourrait remplacer Atatürk par un DSK ou un Hugh Hefner (boss de Playboy) que ça ne changerait rien tellement Mustafa Kemal était accro aux femmes et aux orgies. Ce constat, c’est Riza Nur, un député et ministre de l’éducation sous l’ère Atatürk qui le dresse dans son livre et le résultat est édifiant et répugnant.

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