samedi 23 août 2014

Quand la France nourrissait chez les turcs l’adoration du dictateur Atatürk

Voici une preuve inéluctable de la corruption de la société turque par le monde occidental dont l’outil principal était le dictateur dönmeh sabbatéen Atatürk en personne. Cet extrait du journal Cumhuriyet du 5 Aout 1935 - historiquement proche des kémalistes – montre à quel point ces réseaux sabbatéens ont travaillé main dans la main avec ceux dont ils se sont directement inspirés pour installer durablement la pensée kémaliste dans la société turque musulmane.

Cette pensée avait pour seul et unique but de supprimer l’appartenance du peuple à une seule et même religion, l’islam, et d’accentuer les différences ethniques en prônant la suprématie du turc avec un nationalisme exacerbé. De la même manière, en élevant le supposé sauveur de la Turquie au rang d’une divinité, cette pensée kémaliste pouvait alors être protégée par le dictateur lui même contre qui la moindre critique – même post mortem - relèverait du blasphème. 

C’est notamment sur ce point que l’extrait de journal révèle la coopération. L’article retranscrit les écrits d’un reportage réalisé par le journaliste Marcel Sauvage pour le quotidien L’Intransigeant à travers la Turquie (mais surtout à travers le kémalisme). « La Turquie qui jette son voile » titre Cumhuriyet pour l’article en question et rajoute une entête qui n’est ni plus ni moins que les dires de Marcel Sauvage : « Atatürk est un demi-dieu, il est le père des turcs »… Quand ça vient de la bouche d’un étranger, qui plus est un français dont la culture a été prise en exemple par les kémalistes, la pilule passe forcément mieux que quand ça vient de quelqu’un du pays. Les sabbatéens ne pouvaient donc espérer mieux ; un journaliste français qui vient dire que leur dictateur est un demi-dieu… Une aubaine donc d’autant plus que l’article continue en citant toujours Sauvage qui dit qu’il « n’y a pas de chef d’Etat autre que lui pour qui on a construit autant de statues, elles ne sont pas comparables à celles de Mussolini, Hitler ou encore Lénine ». Une pareille affirmation serait impensable aujourd’hui, mais situé dans le contexte où les dictatures étaient courantes, ça prend tout son sens quand on connaît le caractère égocentrique, ultra-nationaliste, islamophobe, autoritaire, sanguinaire et corrupteur d’Atatürk. C’est une preuve sans conteste que Mustafa Kemal était bien un dictateur, chose aujourd’hui que tentent toujours de nier les kémalistes qui voient en leur « demi-dieu » un bienfaiteur et un sage…

Tout au long de ce reportage, le journaliste français Marcel Sauvage fait donc l’éloge d’une nouvelle Turquie « moderne » qui laisse derrière elle un empire Ottoman ringard, arriéré et désuet. C’est exactement ce que les kémalistes ont longtemps ancré de force dans les têtes des turcs à travers des livres scolaires et toutes sortes de propagandes. Il relate aussi l’interdiction de porter le fez et de ses propres mots, avoue que son but est de détruire l’islam : « Supprimer le fez était toucher l'Islam au front ». De même il qualifie l’islam comme un « cadre étouffant » et évoque l’athéisme d’Atatürk ce qui entre en contradiction avec le mensonge qui plane comme quoi il serait musulman.

Le droit de vote des femmes est mise en avant sans pour autant spécifier que le CHP, parti d’Atatürk, est le seul parti autorisé ce qui laisse songeur dans la valeur de ce droit… De plus, pour l’édition du 16 Aout, le journal L’Instransigeant publie une photo d’Atatürk le montrant en train de se reposer dans la neige au front pendant la guerre de l’indépendance. Cette photo a longtemps été utilisée par les kémalistes pour démontrer l’implication de leur « demi-dieu » dans la guerre. Mais la réalité est toute autre puisque cette photo n’est qu’une mise en scène facilement reconnaissable quand on y ajoute les trois photos qui la complètent.

Voici donc les preuves d’une collaboration qui tranche étonnamment avec le fait que la France a été un des plus grands ennemis des turcs pendant la première guerre mondiale. Cette collaboration s’explique sans nulle doute par une volonté commune de ne plus jamais revoir un Empire turc musulman renaitre et de combattre l’islam qui est le seul rempart contre la corruption du monde par la Franc-Maçonnerie et par le sionisme.

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